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vendredi 22 juillet 2016

Visualisation « JE SUIS UN ARBRE »


J’imagine que je suis un arbre grand et majestueux. 
Mon corps se dresse bien droit et solide, 
tel le tronc de cet arbre que rien ne vient déranger. 
Mes pieds deviennent de puissantes racines. 
Bien ancrées dans le sol, j’imagine qu’elles s’enfoncent profondément dans la terre et se divisent en plusieurs ramifications qui se répandent très loin autour de moi pour m’enraciner et m’abreuver d’une sève revitalisante. 
Ces racines font maintenant UN avec la Terre,
 mère nourricière qui m’abreuve d’une énergie paisible, sereine et bienfaisante.

Remontant le long de mes jambes à travers mes veines et mes artères, cette sève régénératrice circule partout dans mon métabolisme. 
Elle nettoie et purifie chacun de mes organes, 
libérant ainsi toutes les toxines et les blocages qui s’y trouvaient.

 L’énergie de guérison parcourt toutes les parties de mon corps, de bas en haut, s’intensifiant dans ma poitrine et dans mon coeur. 
Mes bras, tels les branches de l’arbre,
 s’ouvrent pour laisser s’épanouir mes sentiments et mes émotions, 
comme autant de feuilles doucement ballottées par le vent.

Dans ma tête, je laisse fleurir des pensées de joie, de reconnaissance et d’allégresse envers cette vie nouvelle qui coule en moi. 
Mon esprit se vide de toutes pensées négatives pour simplement accueillir cette sève magique qui donne maintenant naissance à des bulles d’amour envers moi-même et l’univers qui vit en moi.
Je sens la lumière du soleil caresser ma peau,
 illuminant mon être tout entier qui vibre désormais au rythme des saisons. 

Je suis moi-même lumière, mes cheveux étant comme des milliers d’antennes, de semences captant l’énergie du cosmos. 
Et en reprenant contact avec la réalité, 
je sais que ces semences feront naître à chaque instant les fruits d’un bonheur inestimable et ce, pour le reste de ma vie.

L'Elfe des bois


Les fées


Il est quelque part

Dans une forêt 

Le grand Elfe des fées

Aux immenses yeux pers

Quand il apparaît

Un halo de lumière

Envahit l'atmosphère

Le silence se fait

Les lucioles s'animent

Les arbres s'inclinent

Grand, majestueux

Il exauce les voeux

Sous la lune rousse

Assises dans la mousse

Les nouvelles fées

Retiennent leur souffle 

Elles seront choisies

Pour fêter le solstice

Du printemps à l'été

Et boire le calice

Qui les rendra reines

Des forêts et des bois

Où elles pourront enfin

A leur tour exaucer

Tous les vœux enchantés

Et faire ainsi s'animer

La nature autour d'elles

Dans un battement d'ailes



Ecrit par Machajol

Ma fée d'Ardennes


C'est lors d'une ballade

L'heure était au repos 

Qu'une Ondine
 
Jaillit des eaux calmes

De la Lesse ma rivière adorée

Dont elle est protectrice 

Tout éberlué 

Je la trouvai jolie 

Cette damoiselle 

Aux blonds cheveux 

Lorsqu'elle m'apparut

Vêtue d'une tunique

Et tenant en sa main
 
Une baquette magique 

D'une époque lointaine
 
Qu'elle agita

Les yeux farcis d'étoiles

Soudain jeune et guilleret
 
Je 
fus amoureux d'une fée

Et lors son chevalier
 
Servant tenu à lui rester
 
Eternellement fidèle 

Sous le soleil vespéral

Je m'éveillai alors

Redoutant de faillir

A cette légende
 
Un jour prochain


Ecrit par Cepyge X

Fée nature



Fée des sylves cachée à nos yeux
La sève tu guides aux branches
Les feuilles tu verdis quels jeux
Printemps ces prémices enclenche

Ruisseaux ton murmure on entends
Libellule diaprée sont tes ailes
Les sons nous bercent doucement
Sur l'onde tu voles en rebelle

Fleurs habillées de pétales
Pistils érigés en quéte d'amours
Ton parfum d'espoir exhale
Butineur succombera tu à mes atours

Gentille fée de la nature
Dotée de la baguette magique
Aujourd'hui toi si mature
Pourquoi tout tourne au tragique?




dame nature est malmenée

Ecrit par Jjnad


La fée de Jasmin.

Maman toi qui, là, au-dessus de mon berceau

Veille telle une gentille bonne fée

Toi qui t'éveille au moindre soubresaut

Je dois te remercier de m'avoir porté

Papa m'a confier un secret tu sais :

Il dit : t'es la meilleure maman du monde !

Tu veilles chaque jour de ne rien oublier

Essayant que tout ou presque soit parfait

Mais ne t'en fait pas ma douce Maman chérie

Car tout juste après ma tétine et mon bibi

Ce qui compte le plus pour moi je te promet

C'est savoir chaque jour combien tu peux m'aimer !



Ecrit par Bebe

Les Bonnes Fées


Il est des bonnes fées 
Qui sont un peu sorcières
Qui ne rechignent pas,
Si on leur fait de l'ombre
A nous jeter à terre
Plates bandes gardées

Attention ! Pas toucher !

Sinon, elles ne donneront pas cher
De la belle amitié
Et des bisous d'amour
Qu'elles savent si bien nous faire …
Elles prônent le respect,
L'amour et l'amitié

Attention pas flancher !

Elles se trouvent parfaites
Elles nous portent aux nues
S'investissent à fond
Pour mieux se mettre en scène
Se défendent comme des lionnes

Attention vanité !

Et les petits lionceaux
Qu'elles prennent entre leurs griffes
Se laissent bichonner
Dorloter et flatter
Ronronnant de plaisir

Attention se méfier !

Puis un beau jour une autre
Soudainement se glisse
Entre lionne et lionceau
Faisant naître les nuages
Et déclenche l'orage

Attention Danger !

Il est des bonnes fées,
Simplement enragées
Qui mordent comme elles embrassent
Si vous avez osé
Approcher de trop près
Ceux qu'elles s'appropriaient

Attention fées sorcières...

Il est des bonnes fées 
Qui sont un peu mégères
Qui ne rechignent pas
Si on leur fait trop d'ombre
A nous jeter à terre
Et à nous piétiner

C'est tellement pitoyable !


Ecrit par Danidouce

Gaïa, notre mère


Ronde planète bleue entre les mains de Dieu,

Tu t’es manifestée telle qu’issue des Cieux.

Lente progression pour te donner belle allure,

Sûre évolution pour épanouir ta Nature !

Depuis longtemps déjà, tu accueilles chez toi,

Tous les êtres vivants qui sont avec ou sans toit.

Protégée des anges, elfes, gnomes et fées
,
Nous sommes tes hôtes bienheureux et enviés !

Et pourtant, il n’y a que des hommes indignes,

Pour manquer de respect et ignorer les signes

De cette destruction accélérée, sauvage

Que certains ont lancé, avides, pleins de rage !

Pourquoi un tel supplice endurer sans murmure,

Pourquoi tolères-tu encore ces injures ?

Etre notre mère permet de pardonner,

Mais qui va éviter la mortelle ruée ?



Ecrit par Evalys